Música

lunes, 16 de septiembre de 2013

L'INVENTION DU TEMPS

« Quand chaque seconde est comptée, pourquoi dormir ?
Le temps est trop précieux, il faut profiter de son passage. »
Ollivier Pourriol

Il est fort probable que l’homme préhistorique ne connaissait que la lumière et son absence. Il ne savait pas qu’à la fin on appellerait ces événements jour et nuit ; strictement, il voyait l’engloutissement d’une boule de feu par l’horizon, et après l’obscurité totale. Cela se succédait toujours, toujours. Ainsi l’homme est devenu conscient de ces changements, mais il n’est pas parvenu à les définir. Donc, quand est-ce que l’homme a inventé le temps ? Et pourquoi ?

            Certes, on a déjà nommé la lumière jour et l’obscurité nuit, mais à quoi cela sert-il ?  Pour qu’on puisse rendre cette conscience personnelle de la durée tangible et égale pour l’autre, il fallut la matérialiser et, en plus, la mesurer afin qu’on perçoive « réellement » la succession des événements qui nous mèneraient au progrès par le biais de la science –selon le point de vue matérialiste et bourgeois. Cependant, il fut nécessaire d’ajuster plusieurs fois le calendrier, d’inventer les fuseaux horaires, voire de fixer l’heure et l’heure d’été.

            Néanmoins, Bergson n’y croit pas totalement. Il partage plutôt la conscience de l’homme préhistorique que celle de l’homme scientifique, bien que celui-là appartienne au XXe siècle. Le temps qu’on mesure n’est qu’une illusion, dit-il, alors que le temps vécu est perceptible par la conscience humaine. On a l’intuition des événements qui arrivent, c’est vrai ; mais leur durée ne doit pas être mesurable puisqu’on aura l’impression d’amoindrir leur qualité hétérogène, c'est-à-dire personnelle.


            En guise de conclusion, on peut affirmer que l’homme a créé le temps « mesurable » –dont le but est certainement scientifique, parallèlement au temps « perceptible » –la durée réelle selon Bergson, et quoique ces concepts ne soient pas antithétiques, on doit veiller à ne pas les confondre, mais à être conscients de leurs fonctions, s’il en est une, dans l’existence humaine.

domingo, 1 de septiembre de 2013

EL REFERENTE

Eres ese ser que me prende, bebé.  Entre que me ves, me bebes, me vences.
Embelleces de vez en vez. Mereces que te cele.
En el césped lees este eje. El césped reverdece.
Cedes. ¡Qué chévere!
Enseres, enrédense. Esbeltez: el entremés.
Me crece el mequetrefe;  me crece feblemente.
Es breve, esperen. ¡Dejen de verme!
Que persevere, que te desee, que deje de ser pelele de mente.
El que me pende entre el ser se yergue.
Te estremeces.
¿Le temes? Levemente se mete.
Deberé entender que te lele; te lele que entre.
¿Qué me enderece? Depende de que te centres, remedé.
Excelente: encesté tres veces.
¡Detente, eyecté!
El semen se me ve, merde!
De repente te desprendes.
¡Eh! Me decrece. ¡Qué decente!
Desenredé el ser. Decreté el end.
Me perteneces; festejé.
Este mes preveré que me enseñes el Edén.

– ¡Qué pretendes, hereje!