le félin déjà péri.
Il est muet dans le bruit,
mon silence l'a endormi.
Quel chat! Il ne miaule pas!
Quel chat! Il n'obéit pas!
C'est mon chat, celui qui s'efface,
qui s'efface tristement de mon regard.
C'est mon chat qui ne rit.
Il est beau comme une statue dans la prairie.
C'est le vent qui le berce
avec les plus douces notes de l'univers.
Il a des pattes si légères qu'elles caressent le silence;
avec son nez humide, il respire des essences
pures comme l'ambarine.
Mon chat, il a les plus fragiles oreilles de la ville.
Il a les cheveux plus doux que ceux des chevreaux.
13 septiembre 2011
(Traduction par David Pérez corrigée par l'auteur.)
Creo que el trabajo del traductor es muy bueno... Ya en serio, no quedó mal, podría hacerse canción a ritmo de Jacques Brel
ResponderEliminarNada malo el trabajo del traductor, y podemos intentar hacerla canción, ¿por qué no?
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